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Élyse Guay (CRILCQ, UQAM) et Rachel Nadon (CRILCQ, UQTR), deux stagiaires postdoctorales du CRILCQ, publient « Relire les revues québécoises. Histoire, formes et pratiques (XXe – XXIe siècle) » aux Presses de l’Université de Montréal.

La rencontre inaugurale de Différences et inégalités de genre de la musique au Québec (DIG!) aura lieu ce vendredi 23 avril 2021.

Nancy Perron (membre étudiante CRILCQ, UQAM) et Zoé Vangindertael (membre étudiante CRILCQ, UQAM) organisent la 9e série de tables rondes sur la recherche et la recherche-création du CRILCQ : La recherche sur la caricature et la bande dessinée au Québec. 

Pascale Laplante-Dubé (membre étudiante CRILCQ, UQAM) organise la 42e édition du congrès Boréal, qui se concentrera autour du thème des « Effets d’imaginaire ».

Le CRILCQ a le plaisir de vous inviter à un atelier de formation en ligne portant sur la préparation de demandes de bourses postdoctorales (FRQSC, CRSH, Banting).

Micheline Cambron (CRILCQ, UdeM), Joseph-Yvon Thériault (UQAM) et Sophie Dubois (CRILCQ, UdeM) organisent le colloque « Les oubliés de la culture québéoise », qui aura lieu les 6 et 7 mai 2021, en ligne, dans le cadre du 88e congrès de l’Acfas.

Le réseau DIG, créé par Vanessa Blais-Tremblay (CRILCQ, UQAM), réunit de manière récurrente un groupe ouvert, interdisciplinaire et intersectoriel de chercheurs, d’artistes et de praticiens de la musique qui s’intéressent à l’histoire, aux mécanismes et aux manifestations des différences et inégalités de genre dans la musique au Québec.

Vous avez jusqu’au 1er juin 2021 pour envoyer vos propositions de communication en vue du colloque Les années 1920 au Québec : reconfiguration de l’espace culturel et nouvelles modélisations littéraires, artistiques et médiatiques, qui aura lieu à l’Université de Montréal les 10 et 11 mars 2022.

Cette conférence présentera les acteurs du commerce musical montréalais et le rôle important qu’ils ont exercé dans l’évolution de la vie culturelle québécoise, par un regard sur les polémiques qui ont marqué la période.

On imagine parfois le monde des arts chez les anglophones de Montréal au début du XXe siècle comme un avant-poste colonial où les nouveaux riches cherchent à s'imposer en mettant de l'avant les traditions britanniques. Or, les archives de George M. Brewer, organiste et pianiste, producteur de théâtre, conférencier respecté et grand voyageur, témoignent d'une tout autre réalité.