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Colloque « "Qui je suis – la question ne vaut plus la peine d'être posée. Elle est, disons, caduque." Ce que le personnage contemporain dit à la critique »

6-7 juin 2016
Université Laval
Pavillon Charles-De Koninck
Local 5242

Comité organisateur : René Audet (CRILCQ, U. Laval) et Nicolas Xanthos (UQAC)

programme

lundi 6 juin 

11h 45 Lunch

13h15 Séance 1 – Complexité du personnage

  • Bruno Blanckeman (Université de Paris-3)
    « Mutatis mutandis ? Le personnage littéraire à l’épreuve du vivant »
  • Julie Beaulieu (CRILCQ, Université Laval)
    « Lorsque les Hubots et Ava se rebellent… Le personnage féminin cyborgien du petit et du grand écran »

Pause

  • Marie-Hélène Voyer (Figura, UQAM)
    « “Il faut avoir la politesse d’être heureux.” Formes et paradoxes de la discrétion du personnage chez Nicolas Bouyssi »
  • Nicolas Xanthos (Figura, UQAC)
    « Y a d’la joie : psychologie du personnage dans L’adieu à Stefan Zweig de Belinda Cannone »

Discussion – Le personnage à la rencontre des sciences humaines
Repas du soir (pour les conférencières et conférenciers)

 Mardi 7 juin

9 h 30  Séance 2 – Statut(s) du personnage

  • Tara Collington (University of Waterloo)
    « La construction du personnage dans l’univers romanesque d’Hélène Lenoir »
  • Björn-Olav Dozo et Julie Delbouille (Université de Liège)
    « De l’avatar au personnage : regards croisés entre game studies et études littéraires »

Pause

  • Gerald J. Prince (University of Pennsylvania)
    « Narratologie naturelle, narratologie non-naturelle et personnage «
  • Sophie Beauparlant (Figura, Cégep de Jonquière)
    « Personnages du web : sortir de l’écran pour exister »

12h Lunch

13h30 Séance 3 – Le personnage et ses remises en question 

  • René Audet (CRILCQ, Université Laval)
    « Un personnage, s’il le faut : l’invraisemblance de la pantomime romanesque contemporaine »
  • Andrée Mercier (CRILCQ, Université Laval)
    « De quelques réinvestissements contemporains de la quête »
  • Anne-Martine Parent (Figura, UQAC)
    « Nos amis les animaux. L’animal au secours de l’humain chez Marie NDiaye »