12 mai 2017
Local PK-1140 (Pavillon Président-Kennedy de l’UQAM).
programme
- Mot d’ouverture des organisatrices
Viennoiseries, café et thé pour toutes et tous.
10 h 00 – 11 h 15 Enseigner une histoire de l’art féministe
Modératrices : Marie Ferron-Desautels et Fanny Poupart
- Thérèse St-Gelais, professeure d’histoire de l’art à l’UQAM
- Anne-Marie Auger, chargée de cours à l’UQAM et au département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal
- Edith-Anne Pageot, professeure d’histoire de l’art à l’UQAM
11 h 30 – 12 h 45 Adopter une posture féministe : pratiques artistiques et écriture de l’histoire de l’art
Modératrice : Oriane Asselin Van Coppenolle
- Laurence Beaudoin Morin
«L’occupation performative d’un terrain vague comme tactique d’émancipation»
- Valérie Perron
«L’inaction comme contre-mémoire féministe»
- Elise Anne LaPlante
«Tombées dans les interstices: un regard actuel sur l’apport de quelques femmes artistes à l’Acadie contemporaine»
- Michelle Paquette
«Pourquoi un féminisme matérialiste est (encore) possible – et nécessaire (en histoire de l’art du Québec)»
14 h 00 – 15 h 15 Théories féministes appliquées
Modératrice : Juliette Roiné
- Lisa Tronca
«Revisiter l’agentivité à l’ère des selfies : le pouvoir subversif de la mascarade dans la performance Instagram Excellences & Perfections d’Amalia Ulman»
- Félix Chartré-Lefebvre
«Womanned, tentative pour une observation située de The Unmanned (2014) de Fabien Giraud et Raphaël Siboni»
- Isabelle Cail
«Tomboys and Crossdressers de Sadie Lee, refuser de peindre le bonheur»
- Anne-Marie Dubois
«Cet objet qui n’en est pas un»
15 h 30 – 17 h 00 Femmes et représentations
Modératrice : Joséphine Rivard
- Julie Ravary
«Terre-mère en trois temps : histoire d’une figure enracinée dans l’imaginaire national du cinéma québécois»
- Samuel Gaudreau-Lalande
«Le rôle des femmes dans la propagande pour la colonisation de l’Abitibi»
- Charles Marsolais-Ricard
«Outer Space (1999) de Peter Tscherkassky : histoire d’une corporalité féminine prise au piège par l’œil de l’avant-garde et l’inconscient cinématographique»
- Julie Anne Godin-Laverdière
«“You’ll have to kill me first before you take my pictures’’»
- Mot de clôture