Dans le cadre de la 7e édition du colloque Femmes de lettres, « Étudier les pratiques culturelles des femmes : méthodes, enjeux, défis », organisée par les cochercheuses CRILCQ Mylène Bédard (Université Laval), Marie-Ève Bradette (Université Laval) et Julie Ravary-Pilon (Université Laval), les étudiant·es de l’Université Laval sont à l’honneur.
Le colloque se déroulera le 8 mai 2025, à l’Université Laval, pavillon Louis-Jacques-Casault (local 3788).
Il sera suivi du Lancement collectif du CRILCQ 2024-2025 à la Librairie La Liberté, en formule 5 à 7.
Programmation
8h45 Accueil des personnes participantes
9h Mot de bienvenue
9h10 Enjeux de la représentation : déconstruction, violence et autoreprésentation
- Murielle Thibeault, « Déconstruction de la féminité : femmes violentes dans Furies de Myriam Vincent et Baise-moi de Virginie Despentes »
- Anne-Sophie Archer (membre étudiant·e CRILCQ), « La direction d’acteur/actrices dans le cinéma d’Alfred Hitchcock : représentations prégnantes et limites du jeu »
10h10 Pause-café
10h30 Entre pluralité et résistance : écrire et penser autrement la recherche sur les femmes
- Frédérik Beaulieu (membre étudiant·e CRILCQ), « Écrire le féminisme et l’anarchie : résister à la montée de l’extrême-droite en contexte numérique »
- Tiffany Melin, « L’auto-netnographie féministe : une méthode critique pour analyser les représentations queer sur Netflix »
- Emmy Lapointe (membre étudiant·e CRILCQ), « Penser autrement les corpus lesbiens »
12h Dîner
13h Héritages théoriques féministes au Québec
- Marilyne Brick (membre étudiant·e CRILCQ), « Devenir héritière symbolique »
- Sophie Bellefeuille (membre étudiant·e CRILCQ), « Les féminismes autochtones : entre fiction et théorie »
- Maude-Lanui Baillargeon (membre étudiant·e CRILCQ), « Situer l’universel : la « nice girl » au contact de l’expérience féminine autochtone »
14h15 Pause-café
14h30 Les langues, les parlers et les modalités discursives des écritures aux féminins
- Myriam Coté (membre étudiant·e CRILCQ), « Zambreno, Kapil, Samatar. Réflexion sur la prise de notes et la mémoire traumatique »
- Amélie Routhier (membre étudiant·e CRILCQ), « Échos des locutrices à bouche croche : penser les territoires de la parole en résonance »
- Ana Kancepolsky Teichmann (membre étudiant·e CRILCQ), « Vers une méthodologie trans-autochtone au féminin »