Bourse Gaston-Miron
2019 – 2020 : Neha Jain (Jawahar Lal Nehru University)
2018 : Nimisha Banerjee, pour son projet sur la problématique de l’adaptation d’œuvres littéraires québécoises au cinéma
2017 : Katarzyna Wojcik, pour son projet sur la problématique de l’adaptation de la littérature québécoise (surtout le roman) par le cinéma québécois
2016 : Rachel Elizabeth Willis, pour son projet sur la représentation des femmes et des jeunes filles dans le roman québécois
2015 : Benjamin Alonso, pour son projet intitulé « La création scénique contemporaine de Québec et les Cycles Repère »
2013 : Yvonne Völk, pour son projet intitulé « Héritages de la violence : le traumatisme de la survivance dans les écritures migrantes du Québec »
2012 : Cristina Robu, pour son projet intitulé « Le personnage double dans la littérature québécoise »
2011 : Marie-Aude Hemmerlé, pour son projet intitulé « Effet de présence. Étude de la figuration dans les dramaturgies québécoises contemporaines »
2010 : Denisa Oprea, pour son projet intitulé « Figures postmodernes dans le roman québécois contemporain »
2009 : Alekandra Grzybowska, pour son projet intitulé « Le personnage labyrinthique dans la prose française et francophone depuis 1990 »; et Veronika Cernikova, pour des recherches sur Gérard Bessette et ses écrivains fictifs
2008 : Eva Pich-Ponce, pour son projet intitulé « Identité et reconnaissances réciproques : l’importance de l’Autre dans l’œuvre de Marie-Claire Blais »
2007 : Sylwia Sawicka, pour son projet intitulé « Le roman policier au Québec : l’émergence du genre et représentations sociodiscursives »
2006 : Benedikt Miklos, pour son projet « Répercussions des chansons révolutionnaires françaises sur les utopies dans la poésie canadienne (1760-1838) »
2005 : Anthony Glinoer (Université de Liège et Université Laval), pour son projet intitulé « Les lieux de la Bohème québécoise (1890-1918) »
2004 : Petr Vurm
2003 : Katri Suhonen
Bourse Jean-Cléo-Godin
2019-2020 : Katarzyna Wójcik (Université de Varsovie), pour son projet de recherche sur les enjeux esthétiques et identitaires liés à la mise à l’écran des textes de fiction québécois
2018-2019 : Felicia Cucuta (Harvard University), pour son projet de recherche sur l’articulation de l’identité et de l’espace francophones dans l’œuvre de Wajdi Mouawad
2017-2018 : Priti Tripathi (Université Jawaharlal Nehru), pour son projet de doctorat intitlé « La traduction au féminin d’une œuvre québécoise vers le hindi. Cas d’étude : Le bonheur a la queue glissante d’Abla Farhoud »
2014-2015 : Amandine Bonesso (Université d’Udine), pour son projet de doctorat intitulé « Un récit historique, une pièce de théâtre et un film : variations sur le thème pour redécouvrir les écrits spirituels et historiques de Marie de l’Incarnation »
2013-2014 : Kerstin Kloster (Romanisches Seminar der Johannes Gutenberg-Universität), pour son projet de doctorat intitulé « La représentation de la mémoire dans les œuvres d’auteurs québécois d’origine haïtienne »
2012-2013 : Ruth Jones, pour son projet de doctorat intitulé « Lire et construire la ville : entrecroisements de l’architecture et de la littérature montréalaise dans l’œuvre de Francine Noël »
2011-2012 : Ziyan Yang (Université de Dalhousie), pour son projet intitulé « Pour désorienter une autoethnographie orientale : une étude des représentations identitaires chez quatre écrivains québécois d’origine asiatique »
2010-2011 : Iga Wygnanska (Université Nicolas Copernic de Torun), pour son projet intitulé « Langue, culture et traduction. Le théâtre québécois dans ses versions francophones et hispanophones »
2009-2010 : Elisabeth A. Tutschek (Université de Vienne), pour son projet intitulé « La subjectivité remaniée dans les récits d’auteures québécois »
2008-2009 : Olga Stefan (Université de Bucarest), pour son projet intitulé « La nature dans l’imaginaire québécois. De l’Autre hostile à l’autre compagnon »
2007-2008 : Eva Pich Ponce (Université de Valencia), pour son projet intitulé « Les espaces de l’identité et de la multiculturalité dans l’œuvre littéraire de Marie-Claire Blais. Affinités et divergences avec l’écriture de Margaret Atwood »
2006-2007 : Irene Paula (Université Fédérale Fluminense), pour son projet de doctorat intulé « La constitution de nouvelles subjectivités dans les sociétés postmodernes : l’autofiction américaine de Dany Laferrière »
2005-2006 : Dorthe Vangsgaard Nielsen (Danemark)
2004-2005 : Marija Savic (Université Michel-de-Montaigne, Bordeaux III)
2003-2004 : Maureen Waters (Université de Paris III, Sorbonne Nouvelle)
2002-2003 : Céline Gourdin (Université de Limoges)
2001-2002 : Cristina Minelle (Université de Venise)
2000-2001 : Gwénaëlle Lucas (Université de Paris IV-Sorbonne et Université de Montréal)
1999-2000 : György Ujvári Pintér (Université Péter Pazmany)
1998-1999 : Dina Haruvi (Université de Tel Aviv)
1997 : Nicolas Ancion (Belgique)
1996 : Catherine Hill (Nouvelle-Zélande)
1995 : Paola Ruggeri (Italie)
1994 : Vijayalakshmi Rao (Inde)
1993 : Floriane Gaber (France)
Bourses d’excellence Denis Saint-Jacques (Université Laval)
Hiver 2019 : Anik Demers-Pelletier, pour son projet de thèse intitulé « Étude du processus de patrimonialisation du village de Saint-Élie-de-Caxton » (sous la direction de Martine Roberge)
Automne 2018 : Anne-Sophie Boudreau, pour son projet de mémoire « Le personnage en charge du récit. Étude de l’ingérence diététique dans Swim-Two-Birds de Flann O’Brien, La Folie et le Mort de Ken Bugul et L’hiver de force de Réjean Ducharme » (sous la direction de René Audet); et Valérie Fiset, pour son projet de mémoire intitulé « La mise en récit historique de l’art au Québec dans les synthèses de l’histoire de l’art au Canada, de 1925 à 1973 » (sous la direction de Didier Prioul)
Été 2018 : Catherine D’Anjou, pour son projet de mémoire intitulé « Chick lit : l’ironie comme prise de parole féministe. Étude de l’ironie dans Soutien-gorge rose et veston noir et Gin tonic et concombre de Rafaële Germain » (sous la direction de Julie Beaulieu); et Emmanuelle Germain, pour son projet de mémoire intitulé « Représentation de soi et matérialité des lettres dans la correspondance amoureuse entre Pauline Julien et Gérald Godin (1962-1993) » (sous la direction de Jonathan Livernois)
Hiver 2018 : Annick Tremblay, pour son projet de mémoire intitulé « Restauration et interprétation de l’œuvre d’art : J. Purves Carter et la visibilité de la collection de peintures du Séminaire de Québec (1907-1912) » (sous la direction de Didier Prioul)
Automne 2017 : Émilie Garneau, pour son projet de mémoire intitulé « La Seconde Guerre mondiale et l’émergence d’un discours social critique au Canada français. Analyse de l’ouverture sur le monde dans les romans Alexandre Chenevert, La fin des songes et La Patience des justes » (sous la direction de Jonathan Livernois)
Hiver 2017 : Christiane Vadnais, pour son projet de mémoire intitulé « Mécanique de la nuit suivi de Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier » (sous la direction de René Audet et Mahigan Lepage)
Automne 2016 : Noémie-Geneviève Bentz-Moffet, pour son projet de mémoire intitulé « La représentation de la société québécoise grâce à la reprise de la tragédie grecque dans la pièce Jocelyne est en dépression d’Olivier Choinière » (sous la direction de Chantal Hébert)
Hiver 2016 : Maud Lemieux, pour son projet de mémoire intitulé « Le narrateur-personnage inadéquat : marginalité et posture(s) narrative(s) dans La Trilogie coréenne d’Ook Chung et Un enfant à ma porte de Ying Chen » (sous la direction d’Andrée Mercier)
Automne 2015 : David Fradette, pour son projet de mémoire intitulé « Traduire le slogan des organisations de société civile : de la langue de la solidarité » (sous la direction d’Isabelle Collombat); et Adrien Rannaud, pour son projet de thèse intitulé « De l’amour et de l’audace. L’émergence d’une première génération de romancières au Québec (1931-1941) » (sous la direction de Marie-Andrée Beaudet et Chantal Savoie)
Hiver 2015 : Sarah Champeau-Tessier, pour son projet de mémoire intitulé « Refaire ses fondations : le travail de l’intertexte religieux dans Va savoir de Réjean Ducharme » (sous la direction de Marie-Andrée Beaudet)
Automne 2014 : Philippe Gardy, pour son projet de thèse intitulé « Élaboration d’une méthode formative d’évaluation des travaux des apprenants en traduction » (sous la direction d’Isabelle Collombat)
Bourse Gilles-Marcotte (Université de Montréal)
2018-2019 : Félix Durand, pour son projet de doctorat intitulé « La tentation de l’illisibilité : poétique de la résistance dans l’œuvre de Normand de Bellefeuille »
2017-2018 : Marie-Jeanne Bérard, pour son projet de doctorat intitulé « “Moi, millénaire, femelle et reniée” suivi de Lilith : figure dévorant de l’intérieur Les enfants du sabbat d’Anne Hébert »
2016-2017 : Marie-Hélène Constant, pour son projet de doctorat intitulé « Lectures des postcolonialismes en littérature québécoise (1975 à 2005) »
2015-2016 : Chloé Savoie-Bernard, pour son projet de doctorat intitulé « « La lésée, la lésante et la lésion » : faire corps dans la poésie féministe de 1965-1985 »
2014-2015 : Jérémi Coutu-Perrault, pour son projet de doctorat intitulé « Entrelacements poétiques : la littérature québécoise des années 1960 à la frontière de la poésie et de la prose »
2013-2014 : Candy Hoffmann, pour son projet de doctorat intitulé « Le sacré noir chez Georges Bataille et Hubert Aquin »
2012-2013 : Karine Tardif, pour son projet de doctorat intitulé « Poétiques de la pauvreté dans les romans de Jacques Poulin, André Major, Yvon Rivard et Réjean Ducharme »
Bourse Georges-André-Vachon (Université de Montréal)
2018-2019 : Karolann St-Amand, pour son projet de maîtrise intitulé « 18 chambres, suivi d’Aux frontières de l’identité : la remédiation de la photographie dans les pièces Selfie de Sarah Berthiaume et Nous voir nous de Guillaume Corbeil »
2017-2018 : Clara Lagacé, pour son projet de maîtrise intitulé « Poésie directe. La représentation de l’ordinaire dans la poésie d’Érika Soucy »
2016-2017 : Caroline Villemure, pour son projet de maîtrise intitulé « La mise en scène de l’écriture : la théâtralité comme procédé métatextuel dans l’œuvre d’Hervé Bouchard »
2015-2016 : Geneviève Lafrance, pour son projet de maîtrise intitulé « Poétique de l’entre-deux dans les pièces Raconter le feu aux forêts, Vulgus html et Caribou d’André Gélineau »
2014-2015 : Marie-Jeanne Bérard (maîtrise)
2013-2014 : Chloé Savoie-Bernard (maîtrise)
2012-2013 : Justine Paré (maîtrise)
2011-2012 : Mélanie Fournier (maîtrise)
2010-2011 : Candy Hoffmann (doctorat)
2009-2010 : Irena Trujic (doctorat)
2008-2009 : Emmanuelle Pelard (doctorat); et Jennifer Beaudry (maîtrise)
2007-2008 : Claire Jaubert (doctorat); et Marie-Ève Fleury (maîtrise)
2006-2007 : Karine Cellard (doctorat); et Mélisande Demers-Caron (maîtrise)
2005-2006 : Filippo Palumbo (doctorat); et Marie-Josée Charest (maîtrise)
2004-2005 : Rosemarie Grenier
2003-2004 : Isabelle Chartrand-Delorme
2001-2002 : Rachel Ferland
1999-2000 : Nicoletta Dolce
1998 : Brigitte Faivre-Duboz
1997 : Marie-Andrée Brault
1996 : Patricia Godbout
1995 : Marie-Paule Rémillard
1994 : Muriel Fifils
1993 : Pascale Sirard
Bourse Françoise Sullivan
2018-2019 : Julie Graff, pour son projet intitulé « Nouveaux réseaux de transmission culturelle et pratrimoniale chez les Inuits du Nunavik. Création d’un centre culturel à Kangiqsujuaq »
2017-2018 : Virginie Pineault, pour son projet de doctorat intitulé « L’histoire de la mobilisation du scandale dans la presse à grand tirage québécoise entre 1880 et 1920 »
2016-2017 : Marie Demers, pour son projet de doctorat intitulé « La littérature jeune adulte au Québec : portrait, perspectives et prescriptions »
2015-2016 : Marianne Desrochers, pour son projet de maîtrise intitulé « La réponse à la Loi sur les Indiens dans les insoumissions performatives de Lawrence Paul Yuxweluptun, Louis-Karl Picard-Sioui et Teharihulen Michel Savard »
2014-2015 : Flavie Boucher, pour son projet de doctorat intitulé « L’art de la marge. Regards sur la création marginale au Québec »
2013-2014 : Alex Tommi-Morin, pour son projet de maîtrise intitulé « Troisième question : biographie de Suzanne Guité »
2012-2013 : David Bélisle-Desmeules, pour son projet intitulé « Les expressions de la culture des marins à Montréal au XIXe siècle »
2011-2012 : Sandrine Garon, pour son projet de doctorat intitulé « L’identité nationale déconstruite : la présence du réseau triangulaire d’influences chez les peintres d’histoire canadiens au XIXe siècle »
2010-2011 : Caroline Truchon, pour son projet de doctorat intitulé « Collections particulières et collectionneurs à Montréal fin XIXe/début XXe siècle »
2009-2010 : Gino Bélanger, pour son projet de maîtrise intitulé « La réinterprétation et les composantes identitaires de l’iconographie religieuse dans le retable de Charles Daudelin à la chapelle Notre-Same du Sacré-Cœur de Montréal »
2008-2009 : Solenn Hellégouarch, pour son projet intitulé « L’influence de Théodore Botrel (1868-1925) au Québec entre 1903 et 1937 »
2007-2008 : David Gauthier, pour son projet intitulé « La représentation de l’Autochtone dans l’œuvre du sculpteur Louis-Philippe Hébert (1850-1917) : figure de l’altérité au service d’une idéologie nationale »
2006-2007 : Diane Joly, pour son projet de doctorat intitulé « (En)Quête de patrimoine : la construction de l’identité patrimoniale au Canada français, 1882-1922 »
2005-2006 : Arianne Léonard (maîtrise); et France St-Jean (doctorat)
Bourses d’études supérieures en littérature et en culture québécoises (UQAM)
2018-2019 : Nancy Perron, pour son projet de doctorat intitulé « La satire dans un contexte de modernité culturelle et artistique au Québec (1919-1939) : Albéric Bourgeois (1876-1962) caricaturiste au journal La Presse » (sous la direction de Dominic Hardy); et Izabeau Legendre, pour son projet de maîtrise intitulé « Portrait de la scène du zine à Montréal » (sous la direction de Michel Lacroix)
2017-2018: Ariane Grenier-Tardif, pour son projet de maîtrise intitulé « Amour et aliénation des femmes dans l’œuvre de Marie Uguay » (sous la direction de Lori Saint-Martin)
2016-2017 : Josiane Fortin, pour son projet de doctorat intitulé « Panorama des mutations dans les pratiques chorégraphiques interdisciplinaires des créateurs indépendants en danse au Québec (1980-2000) : corrélations avec les transformations sociopolitiques » (sous la direction de Marie Beaulieu)
2015-2016 : Rachel Boisclair, pour son projet de maîtrise intitulé « Les impacts du contexte canadien de la Deuxième Guerre mondiale sur le fonctionnement et les orientations esthétiques de l’Art Association of Montreal » (sous la direction de Dominic Hardy); et Louise-Hélène Filion, pour son projet doctorat intitulé « Usages littéraires de Thomas Bernhard et de Peter Handke au Québec : vers une définition de l’affiliation » (sous la direction de Robert Dion et Hans Jürgen Lüsebrink)
2014-2015 : Caroline Donat, pour son projet intitulé « Les représentations littéraires du rapport à la loi dans les récits du Nord » (sous la direction de Daniel Chartier)
2013-2014 : Julie-Anne Godin-Laverdière, pour son projet intitulé « Censures et controverses : défier les conventions de la représentation artistique du corps nu à Montréal et à Toronto entre 1949 et 1967 » (sous la direction de Dominic Hardy); et Élyse Guay, pour son projet intitulé « La revue Dérives (1975-1987) et l’écriture migrante : l’esquisse d’un sous-champ littéraire » (sous la direction de Michel Lacroix)
2012-2013 : Ariane Gibeau, pour son projet intitulé « Le bruit et la fureur. Généalogie, éthique et esthétique de la colère et de la folie dans le roman des femmes au Québec » (sous la direction de Lori Saint-Martin); et Stéphanie Vallières, pour son projet intitulé « Ce qu’il reste de nous : la ville fantôme dans la pièce de théâtre Villes mortes (2011) de Sarah Berthiaume, figure d’une identité québécoise ébranlée » (sous la direction de Daniel Chartier)
2011-2012 : Sandrine Martel-Laferrière, pour son projet intitulé « L’interprétation d’une gigue québécoise créée à partir de L’homme rapaillé de Gaston Miron » (sous la direction de Marie Beaulieu)
2010-2011 : Karine Boisvert, pour son projet intitulé « Le renouveau contemporain de la série télévisée québécoise : le cas des Invincibles » (sous la direction de Pierre Barrette); et Julie-Anne Godin-Laverdière, pour son projet intitulé « Censures et controverses : exposition du nu et discours sur le corps dénudé au Canada entre 1880 et 1940 » (sous la direction de Dominic Hardy)
Bourses d’excellence Aurélien Boivin (Université Laval)
2018 : Émile Groleau, pour son projet de mémoire intitulé « Lecture écocritique du mythe du déluge dans Épique de William S. Messier, Le poids de la neige de Christian Guay-Poliquin et Borealium Tremens de Mathieu Villeneuve » (sous la direction d’Andrée Mercier); et Claudia Raby, pour son projet de thèse intitulé « Jeanne Lapointe aux temps de la révolte : une biographie intellectuelle » (sous la direction de Mylène Bédard)
2017 : Amélia Fiset, pour son projet de mémoire intitulé « Histoire et identité de genre alternatives ; la performativité rituelle du genre en cadre uchronique chez Élisabeth Vonarburg » (sous la direction de Richard-Saint-Gelais et Mylène Bédard); et Élodie Leclerc, pour son projet de mémoire intitulé « Les orientations esthétiques de la maison d’édition Alto : stratégies rhétoriques et cohérence du catalogue » (sous la direction de René Audet)
2016 : Charles-Antoine Fugère, pour son projet de mémoire intitulé « Le lecteur contraint : prédétermination de la lecture en contexte numérique » (sous la direction de René Audet)
2015 : Anne-Sophie Boudreau, pour son projet de mémoire intitulé « Le personnage aux commandes du récit : détournement de la narration dans le roman contemporain » (sous la direction de René Audet)
2014 : Joannie Houle Beaudoin, pour son projet de mémoire intitulé « Étude de la relation d’un conteur et son public dans L’Arracheuse de temps de Fred Pellerin » (sous la direction de Martine Roberge et de Chantal Hébert)
Bourses de 2e et 3e cycle, Équipe Poétiques et esthétiques du contemporain
2014-2015 : Rosalie Dion-Picard (UQAM), pour son projet de thèse intitulé « Éthiques et esthétiques de la critique savante contemporaine » (sous la direction de Robert Dion)
2013-2014 : Marie-Hélène Voyer (Université Laval et Université de Montréal), pour son projet de thèse intitulé « Poétique de l’espace incertain dans le roman français et québécois contemporain » (sous la direction d’Andrée Mercier et Élisabeth Nardout-Lafarge)
2012-2013 : Phillip Schube-Coquereau (UQAR), pour son projet de thèse intitulé « Formes et enjeux de la spectacularisation de la fiction littéraire contemporaine » (thèse dirigée par Frances Fortier); et Treveur Petruzziello (Université Laval), pour son projet de mémoire intitulé « Dimitri suivi de Le personnage passif comme étranger à lui-même et au récit » (sous la direction de René Audet)
2011-2012 : Cassie Bérard (Université Laval), pour son projet de thèse intitulé « Discours d’Albert suivi de Récit trouble, narrateur inconscient : construction narrative du soupçon dans les romans de la non-fiabilité » (sous la direction d’Andrée Mercier et Neil Bissoondath); et Myriam Saint-Yves (Université Laval), pour son projet de mémoire intitulé « L’éclatement textuel et générique comme outil de performativité narrative : la mise en scène du texte dans le roman La garçonnière de Mylène Bouchard » (sous la direction de par René Audet)
2010-2011 : Viviane Asselin (Université Laval), pour son projet de thèse intitulé « Récits sensibles, univers indécidables. Modulations narratives et fictionnelles opérées par la musique dans le roman contemporain » (sous la direction de René Audet); et Kimberley Leppik (Université de Montréal), pour son projet de thèse intitulé « L’avènement de la voix : Marguerite Duras et l’inspiration mélancolique » (sous la direction de Marie-Pascale Huglo et Mireille Calle-Gruber)
2009-2010 : Mahigan Lepage (UQAM), pour son projet de thèse intitulé « François Bon, l’invention du présent » (sous la direction de Robert Dion et Denis Mellier); et Ariane Tremblay (Université Laval), pour son projet de mémoire intitulé « Étude de la narrativité poulinienne : narration du sensible et représentation du littéraire » (sous la direction de René Audet)
2008-2009 : Manon Auger (UQAM), pour son projet de thèse intitulé « Un genre sans forme, sans histoire et sans littérature ? Lecture poétique du genre diaristique québécois » (sous la direction de Robert Dion)
2007-2008 : Geneviève Dufour (Université Laval), pour son projet de mémoire intitulé « Les problèmes de l’autofiction et de la métafiction dans Je suis un écrivain japonais de Dany Laferrière » (sous la direction de René Audet); et Christine Otis (Université Laval), pour son projet de thèse intitulé « Mystifications et mensonges. Postures narratives et suspension d’incrédulité dans le roman contemporain » (sous la direction d’Andrée Mercier et Frances Fortier)
Bourse de maîtrise Hector-De-Saint-Denys-Garneau (Université Laval)
2014 : Rosalie Trudel, pour son projet intitulé « Pierres suivi de L’écriture poétique : le rituel comme pratique de la présence »
2013 : Stéphanie St-Onge, pour son projet de recherche-création intitulé « Les créneaux du corps suivi de Michel Beaulieu : le langage poétique comme rempart contre l’effritement du sujet »
2011 : Pascale Marcoux, pour son projet « De la pellicule à la plume. Bâtons à message. Tshissinuatshitakana de Joséphine Bacon : une poésie documentaire »
2010 : Julie Saint-Laurent, pour son projet intitulé « Présences minimales. La question du lyrisme chez Hector de Saint-Denys Garneau et Francis Ponge »
2008 : Geneviève Boudreau, pour son projet intitulé « “L’équilibre impondérable”. Identité et mouvement dans Regards et jeux dans l’espace d’Hector de Saint-Denys Garneau »
2007 : Thomas Mainguy, pour son projet intitulé « La voix en exergue : Jean-Aubert Loranger et l’unanimisme »
Prix de la recherche émergente
2014 : Charlotte Biron (Université McGill), pour son mémoire intitulé « Mavis Gallant et Gabrielle Roy, journalistes »
2012 : Catherine Dussault Frenette (Université de Sherbrooke), pour son mémoire intitulé « L’expression du désir féminin adolescent : étude des (re)configurations des normes sexuelles genrées dans quatre romans québécois contemporains »
2010 (Prix Jacques-Blais) : Sébastien Dulude (UQTR), pour son mémoire intitulé « L’esthétique du livre et de la typographie. Roland Giguère, les éditions Erta et l’école des arts graphiques »
2007 (Prix Jacques-Blais) : Vincent Charles Lambert (Université Laval), pour son mémoire intitulé « Le paysage du poème : Alfred Garneau, Albert Lozeau, Jean-Aubert Loranger »
1999 (Prix Jacques-Blais) : René Audet (Université Laval), pour son mémoire publié sous le titre Des textes à l’œuvre. La lecture du recueil de nouvelles (Nota bene, 2000)