La diversité du paysage culturel au Québec nous force à penser la littérature dans sa multiplicité. Il n’est plus question d’une littérature québécoise, mais bien de littératures plurielles émergeant de différentes communautés, de nouvelles voix et d’espaces inédits. Pourtant, de nombreuses œuvres ne parviennent pas à se frayer un chemin jusqu’à la publication. Cette année, les Rencontres d’écrivain.e.s du CRILCQ sont consacrées aux littératures de combat, aux acteur.trice.s du milieu littéraire qui résistent au courant hégémonique du livre et qui évoluent dans les marges. Lors de cette rencontre entre Gabriella Kinté, fondatrice de la Librairie Racines et militante antiraciste, et Sandrine Bourget Lapointe, cofondatrice de la Librairie L’Euguélionne, il est question des librairies comme lieux d’accueil. Les librairies jouent un rôle primordial dans la distribution et l’accès aux littératures. Et si les librairies devenaient des lieux de résistance assumés, des terrains engagés où chaque prise de parole est reçue avec intention et respect ?
Deuxième combat
Gabriella Kinté et Sandrine Bourget Lapointe
Leur combat : Les lieux d’accueil
Problématique : Lors de cette rencontre entre Gabriella Kinté, fondatrice de la Librairie Racines et militante antiraciste, et Sandrine Bourget Lapointe, cofondatrice de la Librairie L’Euguélionne, il est question des librairies comme lieux d’accueil. Les librairies jouent un rôle primordial dans la distribution et l’accès aux littératures. Et si les librairies devenaient des lieux de résistance assumés, des terrains engagés où chaque prise de parole est reçue avec intention et respect ?